Merci Angelo,
Quelles merveilles, quelles émotions !
Tes poèmes me parlent beaucoup, ils me touchent, je suis émue…
Laura

Merci pour “Les chants de l’inutile”. Quel plaisir de pouvoir se régaler de tes vers, toujours aussi beaux.
Baptiste

Caro Angelo,
in allegato ti mando un racconto scritto da Matteo quando andava alle superiori. un abbraccio, gigi

Après les “Justes” au Panthéon, les commémorations d’Auschwitz, j’ai beaucoup pensé à “La chasse aux étoiles”, “Auschwitz” et à bien d’autres poèmes. Pourquoi êtes-vous toujours dans l’ombre?

j’ai découvert votre dernier recueil “Vanner le sable et le vent” aux horizons insoupçonnés de sensibilité et de poésie !
Merci de nous faire partager les secrets de votre âme.

Je suis fasciné par votre poésie découverte ces jours-ci. L’on voyage d’une émotion à une autre avec une telle intensité que je suis toujours dans le rêve. Merci de faire partagé toute votre énormme sensibilité !

L A P O E S I E

Qu’est-ce que la Poésie ?

La Poésie est un mets capricieux et doux, meringué et acidulé, mou et croustillant qui se déguste en dehors des heures de repas. La Poésie est non seulement l’art de chanter les bouches d’égout de nos quartiers mais également le meilleur moyen de faire tomber la pluie en juin. La Poésie est un puits de sentences sans plafond qui se perd dans les méandres d’un ciel invariablement bleu. Sauf quand il pleut, puisque nous venons de voir que la Poésie avait le pouvoir étonnant de recouvrir nos rues de matière aqueuse.

Quelle chance d’écrire avec tant d’intensité ce que vous vivez. Votre poésie me remplit d’émotion…

bonjour,Angélo maintenant que j’ai internet a la maison j’en profite pour vous laisser un petit mot sur votre livre d’or; je trouve la plupart de vos poémes magnifiques surtout Hamlet il y a dans tous vos écrits une sensibilité et de l’émotions quoi dire de plus mon chér Angélo ormais que vous êtes une personne formidable!
Rémy

J’ai apprécié ce nouveau travail (“VANNER LE SABLE ET LE VENT”) à sa juste valeur et j’y ai retrouvé avec plaisir votre manière et votre ton, faits de raccourcis souvent très forts, d’ellipses et de formules dans une sorte de rapidité d’écriture qui donne à cette poésie tout son pouvoir persuasif et sa force d’évocation. Et puis vous avez le don des trouvailles, des nouveautés frisant parfois un surréalisme étonnant (Les blés sont mûrs dans les vallées / La rivière / Les arbres sont mûrs de chèvres). Votre ton reste concis et souvent incisif mais sans percussions trop fortes. J’aime cette poésie parce qu’elle n’est pas déroutante et qu’elle reste chargée d’émotion, d’images, de tendresse. Oui, “La liberté est ailleurs” mais elle est avant tout là, dans ces poèmes que vous savez si bien trousser.

Votre site est tres bien fait, je vous souhaite bon courage pour la suite

bravo pour votre site
http://pouemes.free.fr/

dans un jour pluvieux comme ce il est un plaisir de trouver un emplacement comme celui de vous

Ce site est vraiment bien! Toutes mes félicitations à l’équipe!!
bye.
Pat

Très beau site didactique !

SUPERBE Angelo ce poème (“Horizon d’acacias en fuite”, juillet 2005). J’ADORE et demande à le lire à ton prochain récital!
J’ai été ébranlée par la force des mots et des images.
Ce texte est d’une grande beauté. MERCI, et gros bisous Brigitte

Très beau champ de visions où la réalité se colore de symboles et d’appels à l’ouverture à l’autre.

http://www.editionsmelonic.com/Gratuit/partenaires/litterature.htm

Merci pour ces “Odeurs de nuits d’algues, même si parfois “sur des plages introuvables”.
La quête eternelle ne s’est pas endormie, ni la complainte aux aimés.
Ainsi tu continues ton grand bonhomme de chemin, de “soleil effrayé” en “applaudissements de nuages”, mêlant nostalgie et culte de l’avenir, tendresse -et donc espoir(“les jours s’aiment”)- et une sorte de désespoir larvé que seul l’amour peut éconduire.
Bravo!

Votre nouveau recueil “Odeur de nuits d’algues”, est une petite merveille d’émotions aux fil des pages.
Je vous remercie particulièremnt de continuer à écrire pour notre bonheur, dans ce quotidien légèrement opaque par tant d’événements.

une belle phrase sur la mer

Une mer absolument calme apeine une légere frange d’ecume vient frappé le sommet des vague apesée

merci de m’avoir fait rever!!je ne sais pas si je peux trouver tes recuils aux pys bas..ou puis je les trouver en france?

J’ai lu votre admirable recueil de poésies “Odeur de nuits d’algues”. Comme votre poésie est belle et pure. Comme votre coeur est écharpé par les misères du monde. Une âme aimante et belle qui trouve les mots justes et précis pour exprimer une sensibilité douloureuse. Vous avez réussi, par votre art, à clarifier les rapports difficiles entre language et phénomènes. Les confusions en philosophie ne naissent-elles pas des confusions qui existent entre logique et language ou des deux à la fois?

“Je dessinerai ton visage
Tu dessineras le mien”

Vers doux et sublimes que seul un grand poète peut écrire!

Merci pour “la parole est silence”
un pur instant de bonheur, les larmes aux yeux
Je le dédie à mon fils Raphaël…

En faisant des recherches sur la Saint Valentin, j’ai découvert votre site. Vos poèmes m’ont fascinée, et j’aimerais tellement pouvoir les faire découvrir à un ami qui m’est très cher, mais il ne parle malheureusement que l’allemand. Auriez-vous quelque chose à me faire parvenir en allemand? Un de vos livres qui aurait été traduit?

J’ai découvert il y a quelque temps votre univers par hasard et je l’ai admiré d’abord incrédule comme on regarde un trop beau cadeau. J’aimerais faire connaître ce même moment de bonheur à mes amis roumains, avec lesquels je partage origines et amour des lettres, en mettant en ligne quelques’uns de vos poèmes et -si vous le permettez- leur humble transposition en roumain sur un site trouvable par le lien suivant “français.agonia.net”. Comme il s’agit d’une communauté littéraire “vitruelle”, je pensais à deux poèmes : “Ma parole” et “Habitant de l’horizon”. Dans l’attente mon déjà grand merci.

clique ici pour lire mon poème

Meci pour votre Poésie vécue, si éloignée de celle qui n’est qu’un stérile jeu de mots ou un inutile exercice d’écriture.
Albéric

Félicitations pour votre site! Il est très intéressant.. encore merci, et bonne continuation A+

super,je reviens bientot.salut Ute

– Un aristocrate –

A l’époque je m’enlisais dans une joyeuse insouciance, oisif dans le domaine châtelain familial. Tapageur et nonchalant, j’occupais les heures quiètes mes jours désoeuvrés à rêver, me prélasser, considérer avec minutie les choses et les hommes de ce monde. Je prenais un philosophique plaisir à regarder les autres travailler. Bien que je ne saisisse pas très bien la nécessité de toute cette laborieuse et pénible agitation humaine, je ne manquais cependant pas de me laisser aller à ce sujet à maintes critiques et moult conseils, ce qui avait l’incomparable avantage de remplir agréablement la plus grande partie de mon temps, perpétuellement vacant. Au moins dans le spectacle gratuit et pittoresque du quotidien de mes semblables, je trouvais matière à curiosité, réflexion, méditation…

Je méditais ainsi au bord des champs péniblement labourés par mes gens, au pied de tas de rondins de bois consciencieusement coupés à la force de leurs bras, je méditais partout où mes pas me portaient, où que ce fût sur les vastes terres de mes géniteurs, riches et nobles propriétaires. Je méditais encore sur toutes ces sortes de choses, mollement étendu dans mon lit, le corps à l’abri de tout choc, l’esprit aux antipodes de ce monde qui m’avait vu naître, que

Quel bonheur de plonger dans votre poésie et respirer les senteurs, les couleurs, les sonorités de cette avalanche de sensations et d’émotions…
William

– Notre jeunesse, notre non-avenir –

Je me suis rendu compte avec bonheur qu’avec l’âge je devenais franchement intolérant, invivable, encore plus asocial qu’avant. Ce qui est bon signe. Plus ça va, moins j’ai de chance de devenir sénile

En effet, je ne supporte plus de voir de jeunes connos assis aux terrasses des cafés la cigarette au bec, une bière à la main. Ils n’ont vraiment rien dans la tête ces blancs-becs ! Tous des étudiants formatés, des chiots pré-abrutis par les radios qui les gavent d’imbécillités musicales, tous des “rebelles” élevés au lait tiède de la télé-réalité, tous des écervelés condomisés, pilulisés, abreuvés de jeux vidéos, de “cinéma tout public”, d’Internet, de Mac-Donald…

Et ça veut faire la loi, ça ce permet de l’ouvrir, ça a des revendications juvéniles ! Et tout ça pour dire quoi ? Pour nous baver sur les semelles !

Je ne supporte plus la proximité de cette jeunesse fumeuse, buveuse, dépucelée, libérée, discothéquisée, ensystémisée jusqu’à la moële.

Très bien Monsieur Venturi !
Ouvrir grande la fenêtre du passé…et revoir votre sourire !

Super site merci pour tout

“Rets aux nuages” : Un bon crû simple, sensible, divesifié. Mais ouïe fine obligatoire pour percevoir “le cri des brumes” !
Bravo

Bonjour,
Un jour, par hasard, je cherchais des mots sur internet. J’ai cliqué “mains” et “frontières”, et je suis tombé sur votre poème “Les mains”. J’en suis tombé amoureuse, le coup de foudre.
Par la suite je l’ai choisi cmme texte à mettre en scène car je suis en classe de terminale et je fais l’option théâtre.
Hier je l’ai présenté au jury, et ils ne vous connaissaient pas mais ils ont ADORER, et ils ont voulu en savoir plus sur vous. Je tenais donc à remercier le Poète que vous êtes, et vous dire que la sensibilité qu’il y a dans ce poème, est… magique.
Bonne vie, Bon vent…

Poèmes d’une beauté extra. Pourqoi certains poèmes(Algérie, Israel et Palestine, le Koursk, la Tchétchénie, Rwanda etc…) liés à des événements et problèmes de l’actualité ne suscitent pas plus de réactions internationales?
Félicitations et continuez, malgré l’indifférance !

J’ai lu avec beaucoup d’attention les mots de votre site et je vous réponds de tout coeur. Je -leur à ma place vous les sots, puisqu’ils sont de ceux qui n’admettent de vérités, ou de mensonges, uniquement lorsque ceux-ci émanent d’une bouche faisant autorité.

Servez donc les causes qui vous sont aimables. Mais n’appelez pas “amour” tous vos communs objets d’attention féminine, vos petites passions qui ne me concernent pas, vos ordinaires sujets de curiosité… Et oubliez-moi, de crainte que vous ne me rendiez pas conventionnellement, convenablement, saintement hommage.

Le problème de la particule se pose, je pense, dès lors que l’on commence à dénigrer sa valeur sociologique, son prix culturel, son caractère éminemment vénérable, son essence mystique, sa spécificité morale. Et sa fonction sociale.

L’aristocratie est une composante la beauté d’une simple particule.

Mes Pères, les Anciens, viennent du ciel, ils

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– Le mauvais augure –

Mon ami le corbeau a une sale tête. Noir, laid et beau, il hante les terres basses en prince piteux qu’il est. Frère de la brume, il chante son hymne à la boue tandis que son bec canaille se plante dans le sillon. Voleur, menteur, mal vêtu, c’est un bohémien des airs. Son aile lugubre plaît au vagabond, et moi j’aime sa silhouette malhonnête au fond des champs.

Il frappe à ma fenêtre, l’oeil méchant. Je lui tends mon pain. Il vient me manger dans la main, ingrat, en me remerciant d’une écorchure. Héros mélancolique au profil anguleux, le corbeau peuple mes songes les plus blancs. Sa plainte ressemble à s’y méprendre au violon de la gargouille qu’il frôle en haut des cathédrales. Hôte des sommets -châteaux, clochers, tours d’ivoire- il côtoie aristocrates, bedeaux, sorcières, vieux hiboux.

Sa chair coriace fait de lui un éternel épargné, tandis que la tendre, la blanche palombe attire à elle seule les plombs de tous calibres, et fait même exhiber l’or des plus fins gourmets. Lui, n’encourt que moqueries, dédain, indifférence. Vous le verrez très honoré de ces froideurs. Mondain des bois, il raille, maudit, persifle… Cynique, hautain et inquiétant dans sa cape.

J’aime mon ami le corbeau. Comme moi, son souffle est rauque, il a de l’envergure et sa plume est trempée dans l’encre noire.

Raphaël Zacharie de Izarra

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Quel bonheur, des sentiments portés par le zéphyr!
C’est en pérégrinant sur le net que j’affichais “La corde du temps” sur un moteur de recheche que je tombe sur votre site. Merci pour ces instants délicieux.
Esyram

Un site, une grande découverte !
Bravo

Tendresse mon fidèle

Bravo pour le site, j’ai apprécié la visite

Je suis tombé, par hasard, sur votre site et vos magnifiques poèmes.

Cher Poète,

Il est doux au coeur de venir se rechauffer à l’incandescente lumière de votre superbe Poésie! Un amoureux portrait du monde, un vigoureux autoportrait de l’intérieur. Et cette infinie miséricorde dans laquelle vous avez le génie de faire flotter les choses et les êtres! Merci, Ange!

Je trouve que la page est tres interessante.La design est aussi tres belle.au revoir

bravo pour le site

Super beau site tres beau desgin felicitation je vous met dans notre annuaire.

Des vacances aux soleil venez les passez à grasse

Textes sublimes … bravo!

Dimmi che sei tu…….. l’Angelo sognatore che ho conosciuto a Mantova e che si recò a Milano, da dove avrebbe dovuto prendere il volo per terre lontane……… Se sei veramente tu, sappi che ti ricordo con simpatia.

– Le vice masqué –

Miss Gulch,

J’aime vos airs d’hypocrite, votre col étriqué, votre maintien ridicule, votre voix stridente de vieille fille abstinente. Votre méchanceté est un vrai théâtre. Je ris de vos malheurs. Votre hymen irrémédiablement clos fait la joie des railleurs. Il est le frisson délicieux des enfants qui vous croient sorcière. Il est la rumeur tapageuse des soirs d’hiver…

super super de magnifiques poèmes
vraiment bravo

de beaux textes !

JE SUIS TRES CONTENT DE VOIR TES OEUVRES SUR CE SITE JE TE SOUHAITE BON SUCCES J’AIMERAIS AVOIR DES ECHANGES AVEC VOUS.S

n’en rien de spéciale !
Juste pour dire que…
On a le meme nom de famille !
Je m’appelle Jonathan Venturi !
c tout ! BY !

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Bravo et bravo pour ce site “si joliment bien fait”.

Ho que c’est joli bravo pour votre site.
Salutation

Salut,j’aime bien votre Site ,elle est informative,et trs prcis. et facile utilis. Bravo!

C’etait un plaisir de voir votre site, bonne continuation.

…je dois dire que j’ai été ravi, en lisant ce recueil, de retrouver cette force des mots qui t’est particulière.

Permettez-moi de vous remercier. J’ai passé de longues minutes sur votre site. Et j’en ai été ravie, emportée.

les mots ont parlé en moi comme dans un livre ouvert. celui de ma vie, mon présent. j’y ai pris tous les messages, que j’attendais tant aujourd’hui.merci de m’avoir donné la lumière dans le labyrinthe de la vie.l’espoir d’un demain plus heureux,quand la souffrance ne sera plus q’une amertume, plus q’un souvenir et enfin plus qu’une graine sur mon chemin,qui ne pouvais germer, l’arbre n’etait pas pret. j’ai foi en demain. nat.o

Superbe association des mots a retenir.

Un froid mortel

– Te souviens-tu lorsque nous chevauchions dans la steppe, fiers, farouches, les cheveux au vent, l’âme légère ? Te souviens-tu de nos cris dans le glacial azur ? Entends-tu l’écho de notre allégresse de jadis ? Sauvages et doux, nos chants résonnaient jusqu’au soir dans les plaines givrées. Nous dévalions de blancs espaces, entraînés par nos chevaux… T’en souviens-tu ? J’entends encore hennir nos montures essoufflées.

Nous filions côte à côte à folle allure, rennes en mains, coeurs dilatés. Dans un geste précis et périlleux, nos lèvres se rencontraient parfois en plein galop : penchés l’un vers l’autre à la vitesse du vent, nous échangions un baiser dans le bruit des sabots. Fugitif et dangereux. Là, notre course semblait se figer une seconde durant. Et cette seconde était une éternité.

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Jour de vent.

Je marchais d’un pas allègre sur une route de campagne, heureux de pouvoir m’aérer la tête et les poumons loin de la ville. Un vent fort de décembre soufflait continuellement sur la plaine. J’entendais bourdonner le ciel agité : un vrombissement formidable qui ressemblait aux orgues sourdes de l’Univers.

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Lettre du 11-11-2002 Merci pour “A la lisière de l’autre”. Tu as toujours des formules surprenantes, des saisies justes (“la porte aux battants d’herbe”, “un verre de mer morte”, “les caravanes des songes-effluves”, “la brume vend des foulards…”), la nostalgie de l’aimé, une attirance pour la sublimation mystique. Aujourd’hui l’éditeur a cédé devant le lecteur qui a, lui, la dent moins dure et l’exigence moins tranchée; sans doute aussi la notion de plaisir plus ample, moins crispée. C’est agréable de te lire dans ces conditions-là!

Bravo pour votre site très sympathique.

Ciao Angelo, mi ha fatto molto piacere sentirti al telefono qualche giorno fa. per la prima volta sono entrato nel tuo sito, ed anche se non capisco il francese mi ha riempito di gioia ugualmente vedere le tue fotografie. E’ stato come entrare a casa tua e sedermi sul tuo divano in salotto.
Un grandissimo abbraccio.
Davide

Felicitations pour votre site.. j’aime beaucoup, je penses que je vais y revenir souvent… @micalement Rosi

grand plaisir – émotion à vous lire

Angelo : tes poèmes sont vraiment très bien, tu as beaucoup de talent.
Un élève de 6ème

J’ai lu, relu etlu unne troisième fois votre bouleversant recueil de poésies “jeux en liberté fragile” : grâce des sentiments, regard qui va au fond des êtres, piété, miséricorde, élégance du langage :
“Le fils unique du roi est mort.
Personne ne peut courir.
Seul le silence court après un
nuage
Trop léger pour être dit.”
Merci pour l’immense plaisir !

J’ai lu avec beaucoup de plaisir “Jeux en liberté fragile” et j’ai particulèrement aimé les poèmes dédiés à Sarah parce qu’ils évoquent des thèmes que chacun possède à sa façon et revisite.
Dans nos errances, nous avons tous un rêve de rivage où s’échouer enfin, une île dans nos yeux et notre coeur comme une promesse d’amour et de liberté. C’est la force de la poésie de nous faire découvrir ces paysages qui sont en nous et la vôtre est une belle invitation au voyage.

clique ici pour lire mon poème

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Bonjour, J’ai envie, moi aussi, de partager un de mes poèmes avec vous.
clique ici pour lire mon poème
Alors voilà. Je vous en souhaite bonne lecture (j’espère !).

A Angelo Venturi, à la poésie également, si possible la plus haute, à celle qui s’exprime en termes d’existence et non pas en termes de vérité. Vers libres, assonances, rimes, tout ce qu’on veut, après tout. Mais essentiellement poésie incantatoire. La votre, en somme, cher Monsieur. Mille compliments.

Cher Angelo, Je suis encore sous le choc de la vibrante beauté de vos pages. Puis-je vous dire combien il est rare, précieux de rencontrer la flamboyance ! J’ai particulièrement aimé : “Concile des pleines lunes ; Les chemins de l’amour t’appartiennent ; J’ai envie de te boire et te lire ; votre sang se répand sur mon âme ; La marée des soifs s’en va”. L’ Orient de vous a rencontré l’Orient extrême et ce fut une belle rencontre. L’Asie ouvre des portes qui jamais ne se referment. Encore merci pour cette joie que vous me donnez. Je reviendrai vous lire aussi souvent que je pourrai. Je vous invite à faire ma connaissance sur mon site quand vous en aurez le loisir. Avec mon amitié. Eliane.

Lettre à Sarah : J’ai passé le reste de la nuit avec les poèmes de ton père. Ton père est un poète qui s’adresse au cœur des hommes. J’ai découvert avec une émotion toute particulière les poèmes qui te sont dédicacés… et j’ai beaucoup aimé aussi “J’irai chercher le feu, L’aire où l’enfant grandira, Mains et Portraits”…Ce qui me touche dans cette poésie, c’est qu’elle embrasse au présent tout le passé et l’avenir, l’humain et le surhumain, d’une même étreinte comme une seule grande strophe vivante. Elle explore nos obscurités, c’est à dire la nuit de nos âmes et le mystère où baigne l’être humain. C’est très beau…

Cher Angelo, J’ai bien lu votre lettre que j’ai trouvé très belle et très intéressante. En ce moment je vous souhaite bon courage et bonne chance.

Avez vous reçus les vœux du dalai lama?

Ah! Semplicemente fantastico. Ho letto le sue poesie e mi sembra di conoscerla da una vita! Complimenti, continui così!

Coucou Poupoute ! ravo pour ton site, il n’est pas mal du tout ! J’espère que tu as passé une bonne semaine à Paris. Bisous, Judith

e bravo giovannino, hai fatto proprio un bel lavoro. Complimenti, gigi.

C’est pas mal – c’est chouette! Good luck.

Tu vois, sitôt arrivés (il est 9h25 ce samedi de Pâques), nous sommes passés te faire un petit coucou. Ciao !

Bonjour!!!!!!!!!!!!!! C’est TANGUY!!!!!!!!!!!!!! J’adore la façon dont se retirent les pages, c’est très joli. J’aime bien vos poèmes. Quand est ce que vous vous ferez payer en $?

j’ai pas tout compris, mais bon…….

Un petit bonjour de Marseille pour te dire que ton site est superbe.

PETIT BONJOUR J’ai consulte votre site et passé un bon moment A demain

Bello, bravo a Giovanni e ad angelo insieme.

Complimenti per il sito e un caro saluto da due vecchi amici!

J’ai été vraiment heureuse de visiter votre site. Elle m’a plu énorment. Merci Mélissa

Long enchantement fluvial de vos textes ; leur beauté émouvante m’ont touchée plus que je ne saurai le dire. Vous lire c’est toucher à l’essence des choses. J’espère qu’un éditeur de qualité va vous publier bientôt, sinon c’est à désespérer.. Amitiés Eliane.

j’ai rarement mais chaque fois avec enchantement retrouve tant de raffinement et d’exotisme dans la poésie…

Ti voglio bene. Un bacio.

Cher Angelo, J’adore votre website. C’est fantastique!

vos poeme sont magnifique blebbbbbb!!!!!! c’est long et beau

Your poems are beautiful, like the sea, they touch my earth. Fany.

C’est formidable!!

meilleurs souvenirs du lycee de Fecamp

wow! C’est très bon!

Funziona!