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Quatrains épars

à Kolja e Pablo

Sur le rives de l’Ousou

O Tosco che per la città del foco vivo ten vai così parlando onesto,
piacciati di restare in questo loco. La tua loquela ti fa manifesto di
quella nobil patrïa natio, a la qual forse fui troppo molesto (Dante ENFER X)

La vigne a l’ombre des sens
Fleuves lumineux de méandres
Lettre d’amour
Orage sur l’Ousou
La tour aux luzernes
Départ d’automne
L’aire des songes
Fagots de froid
Chaines rouillées
Reposoirs du printemps
Les blés sont mûrs
Rogations
L’horizon du midi
Pies et peupliers
Huit ans
Épiphanie de galaxies
Polyphonie de nouvelles lunes
Sauges et chicorées sauvages
Aurores boréales
Saisons éparses
Ferme hantée
Prière des nuages
On a tué le cochon
Source fraîche
Les mûriers du vent
Arbre de Judée
La parole
Guerres inutiles
Les hautes herbes
Papier mâché aux Grâces
Regard
Cerisiers
Loriots du soir
Visages aimés
Buffles
Caresses
La nourrice Victoria
Mangroves
Coquelicots
Après-midi
Dunes
Silence
Mûriers Coquelicots
TRAIN
Départ

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  • Odeur de nuits d’algues
  • Vanner le sable et le vent
  • Chants de l’inutile
  • Vitres sans fenêtres
  • Où les albatros tombent en écume
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  • Quatrains épars

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