Phnom Penh.
J’ai ouvert une armoire.
Des crânes roulent.
Les Khmers rient.
Ils m’offrent à boire.
La mort voudrait me séduire.
Elle s’assoit
Nue
Sur le crâne du soir
Dans un champ de riz.
20 Novembre 1999
Le nouveau site d’Angelo Venturi
Phnom Penh.
J’ai ouvert une armoire.
Des crânes roulent.
Les Khmers rient.
Ils m’offrent à boire.
La mort voudrait me séduire.
Elle s’assoit
Nue
Sur le crâne du soir
Dans un champ de riz.
20 Novembre 1999