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Les gares de la haute mer

à Agostino, mon frère jumeau

La plénitude de l’amour du prochain,
c’est simplement d’être capable de lui
demander : « quel est ton tourment ? »
(Simone Weil)


Nouvelle lune
L’eau de mon âme
Tu me diras les mers inconnues
La falaise
Ornières
Ascension
La page du fleuve
Les enfants ne reviendront pas
Le chemin de tes yeux
Terre ouverte
Tu les as laissés partir
Talus
Sourire
Caravanes d’ailes
J’ai envie de rentrer
Le carrefour d’un sourire
Rapprocher les lointains
Le ciel est bas
Vanner les étoiles
Tout est immense
Les gares de la haute mer
En attendant le printemps
Un galop de vent qui s’en va
La neige a fondu
Tu viendras ouvrir les fenêtres
Je suivrai l’été
Marcher
Au fil de l’eau
Passé
La forêt des visages
Rien n’est jamais perdu
Éclats de songes
Pousses d’un soir
Songes à la dérive
Un espoir lépreux
Ombres
Blés-mer
Le vent des hauteurs
Sur le dos des buffles

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